Géographie au quotidien
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Géographie au quotidien
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Des faits et des phénomènes géographiques passés à la loupe chaque mois (ou presque)
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Voir également le Gotham : dans la série éponyme (Gotham, 2014-2019) ; The Pinguin (2024) ; Batman (dessin animé, 1997-1999)
25/25

Du pop acidulé au néo noir climatique, Gotham reflète nos angoisses métropolitaines : étudier Batman, c’est questionner architecture, inégalités et imaginaires de nos propres villes

#géographie #cinéma #Batman
24/25

Compétences : analyse filmique, croquis d’atmosphère, cartographie des sites, débat sur gouvernance urbaine et justice spatiale
23/25

Questions élèves : comment chaque esthétique traduit‑elle les peurs de l’époque ? quels lieux réels sont recyclés ? où se situent centres et périphéries ?
22/25

Timeline résumée : 1966 pop, 1989‑92 gothique, 1995‑97 néon, 2005‑12 réaliste sécuritaire, 2016‑17 catastrophe spectacle, 2022 vulnérable climatique
21/25

Pour aller plus loin, l’article « Gotham, entre décadence et espoir » décode la ville comme miroir des transformations post‑industrielles et des peurs urbaines Géographies en mouvement
20/25

🗺️ Exercice pédagogique : localiser les lieux de tournage sur Google Earth et comparer avec les plans du film pour dévoiler la fabrication d’une métropole composite
19/25

Corruption systémique, radicalisation en ligne, et surtout risque climatique : digues détruites, inondation géante, Gotham vulnérable et fracturée
18/25

2022 – The Batman de Matt Reeves : mix Liverpool + Glasgow + Chicago, ruelles victoriennes, tours modernes, pluie constante, ambiance néo‑noir saturée
17/25

Gotham évolue vers territoire post‑industriel mondialisé où la menace est autant locale que globale
16/25

2017 – Justice League (cinéma) garde docks et centrales : dépendance énergétique, risque écologique, Snyder Cut 2021 accentue l’esthétique dystopique
15/25

Snyder filme la « catastrophe spectacle » : effondrements massifs, rayons cosmiques, la ville devient champ de ruines potentiel
14/25

2016 – Batman v Superman oppose Gotham et Metropolis séparées par une baie : architecture brute, catastrophes spectaculaires, skyline anxiogène
13/25

La vulnérabilité d’une ville face au terrorisme intérieur questionne gouvernance et justice spatiale
12/25

2012 – The Dark Knight Rises mêle Pittsburgh et New York : ponts levants coupés, stade détruit, résilience urbaine testée après la crise de 2008
11/25

💡 En classe : fonctions de commandement, inégalités et privatisation de la sécurité via WayneTech
10/25

2008 – The Dark Knight : caméras omniprésentes, CBD vitré, Narrows défavorisé vs Loop prospère, fractures socio‑spatiales au cœur de la narration
9/25

Contexte post‑11 Septembre : peur terroriste, surveillance high‑tech, reconstruction morale, Gotham se présente comme ville globale sous pression sécuritaire
8/25

2005 – Christopher Nolan reboot avec Batman Begins : Gotham = Chicago + CGI, lignes modernistes, ponts basculants et métro aérien crédibilisent la métropole
7/25

Hyper‑stylisation ⟶ « city branding » : quand la lumière artificielle masque inégalités et fractures réelles
6/25

1995‑97 – Joel Schumacher passe au néon : Gotham fluo, statues géantes et sky‑trams, ville‑parc d’attractions où le décor prime sur la critique sociale
5/25

1992 – Batman Returns ajoute neige, égouts, ombres expressionnistes : les bas‑fonds symbolisent la périphérie invisible, toujours menaçante
4/25

Burton + Anton Furst reflètent la désindustrialisation US : rues désertes, pollution visuelle et criminalité omniprésente, peurs urbaines de la fin des années 1980
3/25

1989 – Tim Burton installe Gotham dans un art déco gothique : tours massives, gargouilles, fumées industrielles, la ville devient personnage oppressant