Archiviste du Cinéma
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Je parle de cinéma, du vieux, du récent, régulièrement du cinéma asiatique. Et d'autres trucs, aussi, parfois. Youtube http://tinyurl.com/425bskx3 letterboxd https://boxd.it/daPml
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cinemarchiviste.bsky.social
www.youtube.com/watch?v=lc5J... Nouvelle vidéo, consacrée à Four seasons : Utopiano, de Shōichirō Sasaki. On y parle courant de conscience, d'accordage de piano, de musique et importance des sons dans les souvenirs !
Bon visionnage !
Affiche de Four seasons utopiano, de Shōichirō Sasaki. Le fond de l'affiche essst un collage de papier avec des textes illisibles dessus. Des traits jaunes et de nuances de mauve, comme d'étranges rayons de soleil, viennent du haut. Dans le tiers bas de l'image environs, Eiko, derrière un muret (on la voit à partir du torse environs), un peu souriante, touchant une pomme posée devant elle, en uniforme de lycéenne. Il y a la mer derrière elle.
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ladyemily.nebula.tv
The thing that gets me about actors responding like this whenever they’re asking about JKR is that they always say “we need to learn to agree to disagree ^_^” as if trans people are the ones leading the campaign, when we’re just trying to live our lives while JKR posts about trans hate 24/7
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J'ai écouté son dernier album (...oui bon ok je cherche) et franchement Patrick Sebastien en musique fait bien concurrence aux deux autres.
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Oui je me souviens. Je me souviens même que ça veut dire Droit Au Respect et à la Dignité (parce que les acronymes c'est relatif, tu comptes ce qui t'arranges)
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Après c'est ultra important, quand je choisis un appartement j'accorde une grande importance à la présence d'un plancher. Pour pouvoir marcher c'est vraiment mieux.
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captainjim87.bsky.social
Regardez cette nouvelle concernant la rémunération des scénaristes. Ça a l'air d'être une bonne nouvelle, non ? Une vraie victoire, pas vrai ?

Sauf que le minimum syndical désormais imposé est de... 17K pour un long-métrage. Soit 1076 euros par mois sur un an. Comment vivre, en fait ?
Après six années de mobilisation et de négociations, le SCA (Scénaristes de cinéma associés) est fier d’annoncer la conclusion d’un accord interprofessionnel sans précédent entre auteurs et producteurs de cinéma, qui marque un tournant décisif pour les pratiques contractuelles au sein de la filière. Pour la première fois, un cadre clair et partagé encadre la rémunération des scénaristes de longs-métrages de fiction, renforce leur visibilité au sein de la chaîne de création et instaure des mécanismes de transparence indispensables à l’équilibre des relations professionnelles. Cet accord marque une victoire déterminante pour la reconnaissance du travail des auteurs, au cœur de l’engagement du SCA depuis sa fondation
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fayzaa.bsky.social
Fous la paix aux handis, fous la paix aux autistes.
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antigoneisqueen.bsky.social
L'idée la plus forte de Soundtrack to a coup d'état de Johan Grimonprez est dans son titre : récupérer la musique noire et engagée pour l’apposer sur les images qu'elle a été composée pour accompagner. Les faits concrets qui mêlent jazz et politique sont rares mais il est pourtant partout.
screen du film, photo d'archive en noir et blanc : louis armstrong joue de la trompette devant le sphinx en Égypte, et une femme noir assise l'écoute photo de patrice lumumba en costume, les mains levées, qui regarde l'objectif
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C'est le deuxième film que je vois de Tanaka, après One Million yen girl, et il va vraiment falloir que je creuse ce qu'elle a fait d'autre parce que j'aime beaucoup les deux !
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ni ne la traite de manière hautaine comme une victime dont il faudrait juste avoir pitié. Elle s'attache surtout, comme le manga d'origine, à la partie étonnamment lumineuse de son récit, celui d'une reconstruction qui dépasse la culpabilité et le deuil et permette de soigner les beaux souvenirs.
Image de My broken Mariko. Au bord d'une route, de jour, Shiino est assise un peu prostrée, l'urne à coté d'elle. Un jeune homme la regarde d'un air un peu inquiet, debout à coté d'elle. Image de My broken Mariko. Gros plan sur une lettre tenue par Shiino : c'est une lettre de Mariko, sur un papier à lettre avec des étoiles brillantes. Image de My broken Mariko. Mariko, adulte, fait un grand sourire en montrant une affiche publicitaire d'une agence de voyage pour un lieu en bor de mer dont le nom ressemble au sien.
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Mais c'est mineur, le film est très beau, Mei Nagano est une super actrice, le rythme des lettres de Mariko et des flashbacks est soigné et c'est très touchant. Yuki Tanaka traite son récit avec sobriété et douceur, ne se montre jamais complaisante dans sa description des pb affrontés par Mariko,...
Image de My broken Mariko. Shiino, dans un restaurant, regarde hors champ un peu en hauteur (vers une télé qu'on ne voit pas) et semble surprise et abattue par ce qu'elle apprend. Image de My broken Mariko. Shiino marche dans une rue de nuit, portable dans une main (elle le regarde), des lettres dans l'autre, l'urne funéraire de Mariko sous le bras. Image de My broken Mariko. Dans une salle de classe, Shiino et Mariko, flashback de leurs années d'adolescence, en uniforme. Shiino est assise à une table, de dos. Mariko est debout devant elle et sort un cutter.
cinemarchiviste.bsky.social
My broken Mariko (Yuki Tanaka) : Si je devais faire un reproche à cette adaptation, c'est la voix off de Shiino, plutôt belle quand elle dialogue avec les lettres de Mariko mais qui à d'autres moments semble un peu forcée, et aurait mérité de s'effacer pour laisser les images s'exprimer mieux.
Affiche de My broken Mariko, de Yuki Tanaka. Une jeune femme, Shiino (interprêtée par Mei Nagano), en contreplongée, dehors alors que le ciel est très bleu. Elle regarde vers l'objectif, songeuse. Elle a un manteau marron clair et tient en main une urne funéraire blanche. Le titre est au centre de l'affiche, écrit comme à la main, en jaune (en japonais).
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antigoneisqueen.bsky.social
Se dégage de Daguerréotypes d'Agnès Varda beaucoup de douceur, d'empathie et, comme toujours chez elle, beaucoup de mélancolie. Par son procédé même, le film rappelle que le quotidien, la société, fonctionnent un peu par magie. C'est par les compétences, la patience, le dialogue que tout existe.
screen du film : derrière la vitrine d'un magasin d'objets, un couple de personne âgées. Lui regarde la caméra, elle regarde dans le vide screen du film : dans une boulangerie, un couple qui tient un pain en forme d'anneau. Il a l'air assez fatigué assez vouté, elle est un peu gêné mais sourit
cinemarchiviste.bsky.social
Fascinant, à deux doigts de chercher des gens assez infréquentables pour regarder ça avec moi.
bonimenteurfr.bsky.social
Laurent Gerra dans une série policière. On dirait le début d'une mauvaise blague.
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epithete.bsky.social
Je viens de le voir, c'est oui.
romainbry.bsky.social
Oula j'ai encore jamais dit sur ce réseau que The Fall de Tarsem Singh est un chef d'oeuvre ET un des plus beaux films du monde. ⬇️
cinemarchiviste.bsky.social
Troublesome night 11 toujours, et sa terrible attaque de squelette.
cinemarchiviste.bsky.social
Troublesome night 11 et le combat d'esprits, qui invoque Bruce Lee (j'ai fait une coupe pour raccourcir la préparation du combat et enlever une scène sans rapport qui s'insérait au milieu, et je ne met pas la dernière phase qui voit l'arrivée d'un nouveau combattant au look chargé)
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Troublesome night 12 et son dancefloor fantôme.
cinemarchiviste.bsky.social
On sombre à nouveau dans un ennui assez total avant une scène d'exorcisme-disco, à qui je reconnais la bonne idée, mais une exécution franchement triste.
cinemarchiviste.bsky.social
Troublesome night 12 (Yip Wai-ying, 2011) : Deux intrigues se mélangent, mais toutes les deux sans enjeux, et les quelques idées de réalisation à base de déformation d'image et filtre négatif pour représenter les possession sont ratées (mais donnent lieu à une scène fort drôle)
Affiche de Troublesome night 12. Tons verts. En haut, une personne les yeux vermés au visage brûlé, et à sa droite des gens debout dans un lieu inidentifiable. En bas les trois persos féminins principaux déterminées à se battre, dont la mère exorciste des Bud
cinemarchiviste.bsky.social
Je suis vraiment admiratif que le film ait été terminé et soit aussi magnifique.
cinemarchiviste.bsky.social
Absolument !
romainbry.bsky.social
Oula j'ai encore jamais dit sur ce réseau que The Fall de Tarsem Singh est un chef d'oeuvre ET un des plus beaux films du monde. ⬇️
cinemarchiviste.bsky.social
Bref, j'applaudis l'effort de tenter un truc. C'est raté, mais c'est tenté.